BATHURST, le 11 avril 2023 – Brice Martial Kamdem est un finissant du CCNB qui entreprendra bientôt un doctorat à l’École de technologie supérieure à Montréal.

« Brice continue son parcours exceptionnel et nous sommes tous fiers de lui », a lancé Paul Thériault, un doyen associé au CCNB.

Le diplômé du programme Technologie du génie mécanique du CCNB – Campus de Bathurst est en train de travailler ses dernières semaines à Saint-Léonard, dans le Nord-Ouest du Nouveau-Brunswick, où il occupe le poste d’analyste en amélioration continue chez J.-D.-Irving. En mai, il prendra la direction de Montréal.

« Je suis un peu triste de quitter mon emploi, mais c’est une bonne décision, car cela fait partie de mon cheminement professionnel. Je suis très intéressé par les questions actuelles liées au réchauffement climatique et je ne veux pas me limiter aux opportunités présentes. Je suis passionné par la recherche de solutions à des problèmes, en particulier sur le plan environnemental. Mon objectif est d’aider à trouver des solutions durables pour réduire la concentration des gaz à effet de serre dans l’atmosphère et protéger l’environnement », a raconté celui qui a obtenu son diplôme du CCNB en 2021.

Brice Martial a un fort sentiment d’appartenance au CCNB. L’automne dernier, il a même été tuteur à distance pour des étudiantes et des étudiants du programme Technologie du génie mécanique du Campus de Bathurst.

« Brice est régulièrement en contact avec les anciens et les enseignants de son programme. Il se tient au courant de l’évolution et des changements. Il a aussi servi de guide pour une visite éducative en industrie. On ressent qu’il est reconnaissant de son passage au CCNB », a assuré M. Thériault.

Avant de débarquer au Nouveau-Brunswick, Brice Martial avait suivi – de 2011 à 2019 – une série de programmes de formation en génie mécanique au Cameroun. Il est titulaire de deux maitrises en sciences, soit une en Génie énergétique et environnemental et une autre en Énergie renouvelable et machinerie agricole.

« De manière générale, en Afrique centrale, il y a un manque d’équipement et les formations sont souvent plus théoriques. Étant donné que je voulais vraiment me former à la recherche appliquée, j’ai cherché une formation pratique et j’ai beaucoup appris au CCNB. Les étudiants internationaux peuvent bénéficier de mon expérience. Le CCNB est un excellent choix. »

Ses études pour obtenir un doctorat devraient prendre quatre ans. Le Camerounais prévoit par la suite revenir en sol néo-brunswickois.

« Je compte m’installer au Nouveau-Brunswick, car j’aime les endroits calmes et tranquilles. De plus, la presque totalité de la couverture forestière est considérée comme propice à l’exploitation forestière, ce qui fait de cette province un endroit idéal pour appliquer les résultats de mes recherches futures. »

Brice Martial Kamdem est un finissant du CCNB qui entreprendra bientôt un doctorat à l’École de technologie supérieure à Montréal.

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